THIRIEZ ;
Justement, hormis les deux mastodontes Paris et Monaco, les clubs français ont terminé l'exercice précédent déficitaires. N'avez-vous pas peur d'un football à deux vitesses ?
C'est malheureusement une réalité. En dehors des deux clubs qui bénéficient d'investissements étrangers importants, pour les autres, c'est extrêmement difficile. Je pense en particulier à Lyon, Marseille, Lille ou Bordeaux.
Bah on y est !
22 Mars 2015 Sagnol - « Pas grand-chose à dire »