Et puis préserver mes brouillons... enfin brouillons... mieux ! des rendus... rendus émotifs !... déjà en presque formes venues... des dix
vingt mille heures de travail. Que c'est des mises à jour des oeuvres.
Ca se débrousse comme le temple d'Anghkor. C'est de l'acharnement de
terrassier... de terrassier d'ondes... tout petit trait de scalpel prés,
le temple fripe, effrite ? S'efface... vous attrapez plus rien, rien
vient... C'est la magie... La plume est un scalpel de mage... de mage en
terrasses... Tout est enfoui dans l'atmosphère... Faut fouiller plein
par plan... souffles, oh si doucement que le sable s'envole...C'est
horrible n'est-ce pas, c'est horrible... Je veux dire de délicatesse,
d'effleurement... C'est un travail de fée c'est tout, où l'homme périt
damné, perd l'âme, la bonne gentillesse, la bite, tout...[...] Oh !
c'est du tourment pas dicible.
22 Mars 2015 Sagnol - « Pas grand-chose à dire »