Mon sorcier bien-aimé

  • Liens sponsorisés



11-06-2014 à 12:05:40
chacun donne son avis...alors chaque opinion n'est que le ressenti de celui qui l'exprime.


Ca va de soi Nauca !!!

22 Mars 2015 Sagnol - « Pas grand-chose à dire »
12-06-2014 à 07:50:45
il voudrait morel à gauche?






ouho ouho ouho willy,
c'est à bordeaux qu t'as signé pas à chocho
tu crois pas que des canassons on en a pas assez, du jeune, du vieux, du noir, du blanc, on a tous les modèles, merci willy!!!
13-06-2014 à 00:47:18
concernant l'arrivée de sagnol
ça me semble plutôt un bon choix
sagnol a une grande expérience en tant que joueur
et vu que la politique du club c'est les jeunes et que sagnol sait ce que c'est de travailler avec les jeunes
pourquoi pas...


13-06-2014 à 18:51:39
on peut pas au final changer le titre en :
will y survive?
13-06-2014 à 19:53:10
on peut pas au final changer le titre en :
will y survive?


Ah tu vois !!!

22 Mars 2015 Sagnol - « Pas grand-chose à dire »
13-06-2014 à 23:12:57


Ah tu vois !!!


j'avoue
13-06-2014 à 23:52:26


14-06-2014 à 07:08:12
[quote]

[/quote


22 Mars 2015 Sagnol - « Pas grand-chose à dire »
14-06-2014 à 19:00:35



Grande Klamm, Grande
16-06-2014 à 10:54:23
Bixente Lizarazu se réjouit de pouvoir retrouver un proche comme entraineur des Girondins de Bordeaux, clubs qui lui a fait découvrir le monde professionnel.

L'ancien champion du monde explique qu'il soutiendra son ami Willy Sagnol lors de sa mission aux Girondins de Bordeaux.

Voici ce qu'il a déclaré dans Sud-Ouest:

"Pendant six ans au Bayern Munich, on était côte à côte dans le vestiaire et lors des mises au vert. On a vécu ensemble des choses très fortes, il y a une grande amitié et un respect immense entre nous. Et il vient entraîner aux Girondins où j’ai passé douze ans, dont six au centre de formation ! J’irai le voir régulièrement et si je peux lui donner les bons tuyaux et les bons endroits où aller (...) Il a eu le déclic pour le métier quand il a entraîné les Espoirs. C’est un mec sérieux, qui sait où il va. Je suis ravi qu’on donne leur chance à de jeunes entraîneurs. Je lui souhaite de vivre une belle première aventure d’entraîneur aux Girondins. »

22 Mars 2015 Sagnol - « Pas grand-chose à dire »
01-07-2014 à 15:03:11
Finalement choisi par Bordeaux, aux dépens de Zinédine Zidane, Willy Sagnol ne s’attendait pourtant pas à bouleverser sa carrière en se lançant si tôt comme entraîneur. L’ancien munichois est revenu sur les premiers contacts avec les Girondins dans une interview accordée à l’hebdomadaire France Football, évoquant notamment sa longue réflexion avant de prendre sa décision :

« Des contacts ont été noués, il y a plusieurs semaines, avec les dirigeants et le président Jean-Louis Triaud en particulier. Au début, j’étais surpris, voire circonspect. J’ai vécu en Allemagne pendant douze ans, j’aime les choses carrées, planifiées, organisées et la reprise d’un club comme entraîneur ne faisait pas partie de mon plan de carrière dans l’immédiat. Mais une réflexion s’est engagée, professionnelle et personnelle, car il fallait de nouveau faire bouger ma famille. J’étais en activité avec l’Équipe de France Espoirs et à la FFF. J’ai mûri petit à petit ce projet bordelais pour me lever un matin et dire banco ! C’était le bon moment. »


Egalement courtisé par l’Olympique Lyonnais, Sagnol a pris conscience de sa chance de pouvoir débuter sa carrière d’entraîneur en première division française, ce qui a bousculé sa prise de décision : « En plus, à côté, j’avais également un contact avec un autre très bon club français (Lyon). Je me suis dit que dans deux ou trois ans, je n’aurais peut être pas mieux. Je n’ai donc pas attendu que le train repasse, je suis monté dedans. Direction Bordeaux ! (…) Déjà, c’est la L1, et ce n’est pas rien pour un jeune entraîneur qui débute. Il n’y a que vingt places et elles sont chères. Manager Bordeaux pour un démarrage, c’est très gratifiant et je prends cette responsabilité comme un honneur et une fierté. Mais cette opportunité s’inscrit également dans une progression rapide et logique. »


Mais un second élément, en plus de « l’histoire » des Girondins, a facilité la décision du nouvel entraîneur bordelais : les différentes discussions avec Jean-Louis Triaud, qui se sont révélées décisives dans son choix de rejoindre la Gironde : « C’est vrai. Je n’étais pas sur le marché. Et puis, c’est quand même Bordeaux! C’est un club qui pèse en France, avec son histoire, un beau palmarès, un environnement et bientôt un nouveau stade flambant neuf. Ce panorama force la réflexion. J’ai été aussi très sensible au discours de Jean-Louis Triaud. On a vite accroché tous les deux. Il y a eu un feeling très rapide. Toutes proportions gardées, parce que ce sont deux personnages différents, le président Triaud m’a rappelé Uli Hoeness au Bayern Munich. Leur approche humaine est identique. Une histoire d’hommes s’est déjà installée entre nous pour conduire au sportif. Cette démarche me plaît. Grâce à lui, avec Bordeaux, ça a fait tilt ! »


Mais finalement, prendre place sur un banc de touche des Espoirs n’a fait qu’attiser la flamme pour Willy Sagnol, souhaitant dès lors s’engager dans un nouveau projet, « un vrai beau projet », avec les Girondins de Bordeaux : « C’est un vrai beau projet dans un vrai beau club avec, peut être, des moyens un peu moins élevés que le grand Bordeaux d’une époque pas si lointaine mais qui restent conséquents. Et puis ce n’est pas parce qu’on a moins de moyens que certains que l’on ne peut pas avoir des ambitions. » (g for ever)



Les dernières semaines ont été particulièrement mouvementées du côté de Bordeaux et du Haillan. Devant faire face au départ de Francis Gillot, les Girondins se sont lancés en quête d’un nouvel entraîneur. Malgré les rumeurs insistantes, Zinédine Zidane ne prendra pas place sur le banc bordelais la saison prochaine puisque Jean-Louis Triaud et les dirigeants du club au Scapulaire ont privilégié la piste Willy Sagnol. Mis au courant dès les premières discussions, l’intéressé avoue, dans une longue interview accordée à l’hebdomadaire France Football, ne pas avoir été gêné par cette concurrence :

« Je l’ai bien vécue parce qu’elle était claire. Jean-Louis Triaud m’avait planté le décor dès le début. Il m’a dit que Zinédine Zidane était leur idée initiale et qu’ils n’avaient pas pensé à moi au départ. Chronologiquement, je suis arrivé après dans l’esprit des dirigeants bordelais, mais avec une véritable volonté d’aller plus loin dans les discussions. J’étais au courant de tout çà. Les dirigeants ont toujours été honnêtes. Je n’ai jamais eu l’impression d’être un second choix pour eux. »


Sagnol, qui n’a jamais été en contact avec Zidane à ce sujet, s’est plutôt amusé de cette situation, et préfère d’ailleurs en parler avec humour :

« Il fait ses choix, je fais les miens. Il gère sa carrière, j’ai la mienne. Autant, on peut partager des choses quand on est joueurs, autant, là, il n’y avait rien qui nous reliait dans un intérêt commun et collectif. J’ai même pris cette petite concurrence avec humour en me disant que, pendant notre carrière de joueur, jamais un club n’aurait hésité entre Zidane et Sagnol. Ça veut dire que j’ai bien progressé ! » (g for ever)
03-07-2014 à 14:51:05
Girondins de Bordeaux : Sagnol a déjà séduit les cadres

L’arrivée de Willy Sagnol a déjà fait son effet aux Girondins de Bordeaux. Lundi matin, les joueurs bordelais ont fait connaissance avec leur nouvel entraîneur et semblent déjà séduits par son discours et sa personnalité.

« Je me suis décrit un petit peu, j’ai dit ce que j’ai-mais et ce que je n’aimais pas, a déjà indiqué l’ancien sélectionneur de l’équipe de France Espoirs. J’ai insisté sur des notions de plaisir. On a vu de la gaieté, des joueurs à l’heure, tous, impatients de commencer ». Selon les récentes informations de 20 Minutes, et d’après ce qui a été dit en coulisses, les cadres de l’équipe sont séduits par leur nouveau coach. Affaire à suivre…(but)
09-07-2014 à 14:37:20
FOOTBALL - Le nouveau coach des Girondins a accordé un entretien à «20 Minutes» pour évoquer son intégration à Bordeaux, sa vision du métier et les ambitions qu’il nourrit dans ce rôle qu’il découvre…

Il n’aime pas vraiment parler de lui. Willy Sagnol, le nouveau coach des Girondins, a accordé un entretien à «20 Minutes», dix jours après la reprise de l’entraînement. Pas forcément désireux d’évoquer son cas personnel car ce n’est pas le rôle d’un entraîneur selon lui, il a tout de même livré son regard sur son nouvel effectif, sa méthode et les attentes qu’il nourrit de sa nouvelle fonction.

Comment jugez-vous votre groupe après dix jours de travail?

On apprend à les connaître humainement, forcément ce sont des données supplémentaires mais sur le potentiel des joueurs, on avait une grosse idée de l’effectif peut-être un peu moins de certains jeunes que l’on n’avait pas beaucoup vu jouer donc les découvertes sont surtout sur ces joueurs-là.

Etes-vous surpris par certains?

Non. Ca correspond à ce que l’on avait imaginé.

En tant qu’entraîneur, quelle sera votre méthode?

Comme un coach. Chacun sa méthode. C’est une question de comment faire passer ses messages. Certains préfèrent les faire passer dans des animations de jeu, d’autres dans des discussions formelles ou informelles, certains ont besoin de beaucoup observer avant d’agir et d’autres l’inverse. Aujourd’hui, c’est difficile de définir une méthode, je viens d’arriver il n’y a pas longtemps. Après, ce n’est pas forcément la méthode de l’entraîneur, il faut s’adapter à l’effectif que l’on a. En fonction de si on a un effectif adapté ou plus jeune, c’est complètement différent.

Vous avez mis du temps à vous tourner vers le coaching…

Ce n’était pas forcément une suite logique à ma carrière de joueur. J’ai touché à pas mal de choses et c’est une richesse, surtout ces trois dernières années à la FFF où on est très rapidement confronté à tout ce que l’on peut connaître dans le foot, que ce soit le terrain, le management, la politique, l’aspect économique.

Qu’est ce que vous recherchez dans ce métier?

[Il hésite] Je ne suis pas persuadé que l’on cherche toujours quelque chose. C’est compliqué quand on est entraîneur de parler de ses attentes, de ses envies ou de son cas personnel alors qu’à la base, l’entraîneur est là pour servir un groupe à aller le plus loin possible.

L’adrénaline liée à la compétition, ce n’est pas une raison qui vous a poussé à retrouver le terrain?

C’est vrai que le fait d’avoir pris les espoirs il y a un an m’a fait retrouver certaines sensations du temps où j’étais actif. Cela a été une des raisons de ma réflexion pour être entraîneur maintenant. C'est-à-dire que le terrain m’attire peut-être plus que le travail de direction ou de coordination même si un entraîneur est un coordinateur à la base.

Et qu’est ce que Bordeaux peut vous apporter?

Quand on est jeune entraîneur, on ne réfléchit qu’avec des opportunités. On peut avoir pleins de plans de carrière mais si on n’a rien, ils tombent à l’eau rapidement. Pour moi aujourd’hui, Bordeaux est une mission qui durera le temps que ça durera. Que ce soit pendant un an ou dix ans, mon but c’est de réussir ici.

Vous n’avez évolué que dans trois clubs, vous recherchez aussi cette stabilité en tant que coach?

La stabilité d’un joueur sur sa carrière, c’est un trait de caractère aussi. Je ne dis pas que je n’aime pas le changement mais là où je me sens bien, je n’ai pas forcément envie de partir. Si je prends du plaisir dans ma mission à Bordeaux et qu’en même temps on a des résultats, je ne vois pas pourquoi j’en partirai.

En termes de jeu, vous savez déjà dans quel système vous évoluerez cette saison?

Oui mais c’est trop tôt pour en parler. Aujourd’hui, on est là à 90% orienté sur la préparation athlétique pour mettre en place ce que l’on veut. Il n’y a pas de système. Ca sert à mettre des noms dans des cases et à se les représenter de manière visuelle. Les animations de jeu n’ont rien à voir.

Il y a encore des incertitudes?

Non, c’est très clair dans mon esprit mais pour l’instant, les joueurs travaillent énormément sur le plan athlétique, on ne va pas en plus les abreuver de données sur les animations de jeu tout de suite. Ca commencera un petit peu en stage.
20-07-2014 à 13:37:08
«Sud Ouest». Quel bilan tirez-vous des vos matches amicaux?


Willy Sagnol. Les objectifs des ces trois matches étaient plus des objectifs de stage en termes athlétiques. Les joueurs sont fatigués mais c'est normal. Cela fait 19 jours qu'on tape bien sur eux! Après j'ai quand même été surpris par une certaine fragilité physique. Pourtant, la préparation, par rapport à ce qui se fait ailleurs en Europe en terme de volume et d'intensité, c'est très moyen. Maintenant, ils vont souffler un peu et se consacrer à la deuxième phase où l'on va s'occuper des animations.

Êtes-vous satisfait de leur état d'esprit ?

L'état d'esprit, oui. Mais on sait bien que pendant la préparation, tout le monde, il est beau, tout le monde il est gentil. Chacun pense avoir sa chance, sa carte à jouer. Quand les matches arriveront, il y aura forcément des joueurs contents et d'autres moins contents. Mais c'est comme ça dans tous les clubs.

Quand on est entraîneur fédéral, à quel moment se dit-on que l'on va aller en club ?

Ce sont les occasions qui font le larron, dit-on. Je n'avais pas de plan de carrière, j'étais à la fédération en tant que directeur des sélections ou sélectionneur des espoirs, deux postes qui me plaisaient, qui faisaient que je prenais du plaisir. Quand des opportunités arrivent, vous les saisissez ou pas. À un moment donné, à travers les échanges que j'ai eus avec Bordeaux, j'ai senti que c'était peut-être le moment.

C'était les postes qui se libéraient à Bordeaux et Lyon ?

C'était l'opportunité d'aller dans des clubs de ce niveau. Aller dans un club de L2 m'aurait fait beaucoup plus réfléchir. Là, c'est quand même Bordeaux. Ça fait partie du top 7-8 depuis très longtemps en France. Le discours du président et de monsieur de Tavernost m'ont interpellé. Les choses ont été relativement vite.

Mais Bordeaux plutôt que Lyon, où vous avez passé des entretiens, n'est-ce pas frustrant ?

Non, c'est une question de feeling humain. Quand un entraîneur décide d'aller dans un club, il n'y a pas que le corps de métier, il y aussi l'environnement, le contexte, et je trouvais que l'environnement et le contexte me convenaient plus que ceux de l'OL. Lyon est un très beau club, bien structuré avec de très bons jeunes. Les deux projets étaient très intéressants mais ensuite, c'est une question de feeling.

Réfléchit-on aux risques quand on décide de franchir le pas ?

Bien sûr. Mais je ne pense pas que ce soit très valorisant pour un homme de se contenter de ce qu'il a, de ne jamais prendre de risques, de rester pépère à la maison. J'aurais pu rester 25 ans à la fédération mais je ne pense pas qu'humainement cela m'aurait fait grandir.

Vous n'avez pas une grosse enveloppe pour recruter et il n'y a pas une grosse différence entre la 5e et la 15e place…

Entre la 3e et la 15e, on peut même dire. Sur leur potentiel, les équipes sont assez proches les unes des autres, avec des forces et des faiblesses différentes. Ici, il y a de très bons joueurs. Wahbi Khazri et Nicolas Pallois sont arrivés, d'autres vont suivre avant la fin du mercato, de façon à constituer un groupe le plus compétitif possible.

Quel entraîneur êtes-vous ? On vous voit parfois chambrer vos joueurs !

C'est peut-être dû à mon âge. Je suis encore jeune, il n'y a pas trop d'écart entre eux et moi. Mais le fait de chambrer un joueur n'empêche pas, deux minutes après, d'être très exigeant avec lui. C'est une question de rapports humains. Si on veut être respecté, il faut aussi respecter les autres. Je n'ai pas envie d'être un dictateur, qui dise toujours quoi faire, comment faire. J'aime bien que les joueurs soient partie prenante de leur projet.

Vous n'êtes donc pas du genre à faire un toro avec eux, comme Claude Puel ?

Claude, quand il était entraîneur à Monaco, il m'avait blessé dans un petit jeu ! J'ai été blessé à la cheville pendant quelques semaines. Donc, non !

Vous sentez-vous de taille à lutter contre le confort dans lequel les joueurs se réfugient parfois ?

Il fait bon vivre à Bordeaux. Le club est stable, avec l'océan et la montagne pas loin. Les gens sont gentils, discrets. C'est sûr que les joueurs peuvent parfois s'endormir. Mais mon rôle, ainsi que celui du staff est de veiller à ce que les heures de sommeil ne soient pas trop longues !

Vous avez pour mission d'intégrer les jeunes. Comment allez-vous vous y prendre ?

Ma mission n'est pas forcément d'intégrer des jeunes. Elle est d'intégrer des jeunes qui soient prêts ! Un jeune qui n'est pas prêt, il n'a pas à être intégré maintenant. Il faut qu'il continue à travailler. Nous avons des jeunes, de très jeunes joueurs qui sont loin, voire très loin d'un niveau de première division. C'est à eux de savoir s'ils veulent atteindre ce niveau un jour et s'ils sont prêts à consentir tous les efforts pour cela. Je trouve dommage qu'un gamin de 18 ou 20 ans, après cinq semaines de vacances, revienne à l'entraînement avec quatre ou cinq kilos de trop… Cela veut dire qu'il ne réalise pas ce qu'est le football de haut niveau. Pour moi, c'est incompréhensible.

Que manque-t-il à Vada ?

Il lui manque beaucoup de choses. Jeune joueur avec un talent de joueur de foot. Mais de joueur de foot à joueur professionnel, il y a un grand pas à franchir. C'est à lui de savoir s'il a en vie d'y arriver.

Thomas Touré, c'est une bonne surprise ?

C'est une surprise quand on ne connaît pas les joueurs. C'est vrai que Thomas, je ne l'avais pas vu jouer souvent. Mais dans le milieu du foot, tout le monde se parle. Il se dit qu'à Bordeaux il y a de très jeunes joueurs très intéressants et qu'il fallait peut-être simplement leur donner un peu de temps de jeu et les orienter un peu.

Vous allez à Montpellier , puis recevez Monaco. Vous pouvez vous retrouver avec deux matches et zéro point…

Ou deux matches, six points ! De toute façon, il faudra affronter tout le monde. On ne part pas en se disant qu'on peut avoir zéro point après deux journées. Notre objectif est de nous dire qu'il y a un match à Montpellier et qu'il faut le gagner. Ensuite on se projettera sur Monaco, pour essayer de gagner également. Il faut prendre match après match. Dans une saison où on ne joue pas l'Europe, on se trouve moins dans une gestion de l'effectif.

Lamine Sané sera-t-il votre capitaine ?

Lamine fait partie des cadres. Par son vécu au club, par son parcours dans la région. Je me fais souvent arrêter en ville par des jeunes qui me parlent de lui. Lamine c'est un modèle pour son parcours, sa gentillesse, ses qualités de joueur. C'est un personnage important…

Vous plaisez-vous à Bordeaux ?

Tout à fait, mais quand je serai rentré dans ma maison avec ma famille, ce sera encore mieux. Pour l'instant, ce n'est pas plus mal, car je passe beaucoup de temps au centre d'entraînement. Avec le staff, on réfléchit à ce que l'on peut faire pour améliorer les choses, pour le lendemain, pour le surlendemain. C'est intéressant. En tant qu'entraîneur, c'est ma première préparation estivale, c'est donc très formateur également.

22 Mars 2015 Sagnol - « Pas grand-chose à dire »
20-07-2014 à 16:12:48
«Sud Ouest». Quel bilan tirez-vous des vos matches amicaux?


Willy Sagnol. Les objectifs des ces trois matches étaient plus des objectifs de stage en termes athlétiques. Les joueurs sont fatigués mais c'est normal. Cela fait 19 jours qu'on tape bien sur eux! Après j'ai quand même été surpris par une certaine fragilité physique. Pourtant, la préparation, par rapport à ce qui se fait ailleurs en Europe en terme de volume et d'intensité, c'est très moyen. Maintenant, ils vont souffler un peu et se consacrer à la deuxième phase où l'on va s'occuper des animations.

j'espère qu'il parlait de sané ou pellenard
parce que si il était pas au courant que les diabaté, planus ou jussiê...
  • Liens sponsorisés