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12-11-2013 à 19:28:39
une Blanche et un Noir


12-11-2013 à 19:41:20
Ptain aprés notre déroute face au fcna dimanche, maintenant ca :

"Le prix Médicis a été décerné aujourd'hui à Marie Darrieussecq pour Il faut beaucoup aimer les hommes (P.O.L.), roman brûlant sur la passion de deux amants, une Blanche et un Noir, selon une source proche."

Je vais pas m'en remettre Nap...un cataclysme...fait que je revisite tous mes jugements de valeur...

A moins que le "décernement "des prix littéraires ? Hein...!


Connais pas, mais le pitch fait craindre le pire...

De là à dire qu'ils décernent les prix en fonction de l'idéologie véhiculée, son message mièvre forcement, avant de récompenser de véritables talents littéraires, comme si traiter le sujet des couples mixtes était un acte de courage au 21ème siècle (putain les mecs !), il faut bien filer une petite prime pour services rendus...

Dernièrement un scénariste a réussi à foutre le sujet des sans-papiers/clandestins dans un film sur le Vendée Globe, crédible ! Les mecs sont trop forts, vivement la cérémonie des Césars cette année avec la vie d'Adèle, le match va être serré...



Tout ça me donne furieusement envie de relire Le vieil homme et la mer :topiclittéraire: , et dire que tout le monde se fout des espadons/marlins...

"poutiniste" pierre le 18 Août, 2012
08-12-2013 à 11:18:10
Pour en finir avec l'espèce humaine, et les Français en particulier,
Pierre Drachline

UnE critique : extraits !

"......Comme La Boétie, Pierre Drachline constate ahuri la force d'inertie des hommes, l'auto-conformation à l'ordre, ce vice de la servilité. Mais point de généalogie de la lâcheté, de simples coups de pinceaux pour tirer le portrait de la médiocrité humaine. La voix tonitruante, l'auteur se déchaîne contre ces abonnés absents du monde, incapables de passions et de désordre, ces nouveaux morts-vivants entre lesquels il passe avec aversion et refus. Il fait partie de ces rares qui conservent le souvenir de leurs droits naturels et sont indomptables. Il y a alors étalé le plus crument possible le dégoût des autres, sauf de quelques rares amis....

L'auteur veut déranger, bousculer, être honni afin que le plaisir de dénonciation soit complet. Une certaine perplexité peut saisir le lecteur face à ce déferlement irascible et tout azimut, dans lequel se confondent les luttes et les adversaires au point de n'entendre plus que la voix âcre et écoeurée de l'insoumis. On pourra sourire de cette envie prononcée de catastrophe, d'anarchie, de cet intérêt pour les criminels, les fous, ceux qui mettent à mal l'inertie sociale, on pourra tout aussi bien désespérer de cette haine sans retour. Il y a ce paradoxe qui dérange et questionne d'un homme qui vénère les passions de la vie, qui recommande aux hommes de ne jamais s'endormir, et ce goût de la désolation cynique sans proposition de sortie. Nécessité des amitiés dégrisantes et refus d'être compris nous ballotent sans savoir vraiment ce que nous veut la verve de Pierre Drachline.

En surmontant les émotions contradictoires qui nous charrient, nous lirons cette vindicte savante - accompagnée de références littéraires et historiques- et poétique, soulagé d'une telle liberté de ton "J'en ai fini enfin avec la lâcheté et l'hypocrisie. Béquilles de tout homme se mouvant dans la vase sociale. Désormais le ressentiment me tient chaud au coeur". Dans cette immense accusation de tous et de lui-même, on peut alors s'abstraire ou plonger et purger ses rancoeurs voire ses faiblesses. Une haine cathartique est à l'oeuvre, pour l'auteur comme pour le lecteur. "La parole doit être terroriste" dit l'auteur qui s'empresse de lâcher des bombes sur la dictature du nombre, du conformisme, des bobos, de l'hygiénisme, du politiquement correct, des bons sentiments d'une démocratie formelle où règne culpabilisation, avarice morale et matérielle, déconsidération des pauvres, des étrangers, des vieux, proscription du désir et tant d'autres symptômes d'une vie sans la vie. Mais la radicalité de l'auteur veut aussi dénoncer les pseudo-révoltés, les insoumissions partielles ; car sans excès la vindicte n'est rien. De cette léthargie sociale, il n'y a nul autre responsable que l'espèce humaine. Aimer la vie c'est haïr les hommes. Nul goût du suicide, seulement du tir à bout portant. Un livre à l'étrange saveur de passion et d'acidité...."
Sophie Galabru



"Claude Roy évoquait « le beau noir » de Cioran. De même, on pourrait parler du « beau noir » de Pierre Drachline. Celui-ci cultive les idées sombres, les idées noires comme des fleurs vénéneuses. C’est son jardin d’hiver, et le pessimisme est sa seconde nature. Tant pis si cela entame le moral des ménages et si cela désespère Billancourt..."

http://www.servicelitteraire.fr/litterature-francaise/1361-le-misanthrope-libertaire/

Affaire à suivre...


Il a écrit ca aussi...entre autre !!!

http://books.google.fr/books?id=TXsTBgqV-iYC&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false

22 Mars 2015 Sagnol - « Pas grand-chose à dire »
15-12-2013 à 10:12:37



qui est excellent au demeurant,
merci Kern pour le tuyau

tiens j'ai lu au passage, moi qui n'en suis pas un mateur, un autre documentaire qui m'a ravi


si pour les fêtes, j'aime bien me documenter en fait,
bonnes fêtes à tous
15-12-2013 à 10:30:19

tiens j'ai lu au passage, moi qui n'en suis pas un mateur, un autre documentaire qui m'a ravi


si pour les fêtes, j'aime bien me documenter en fait,
bonnes fêtes à tous


Ca peut m'interresser !
Ca dépend aussi des sites qu'il a sélectionné!
Mais tu as vu le documentaire ou lu le bouquin ?

22 Mars 2015 Sagnol - « Pas grand-chose à dire »
16-12-2013 à 21:27:30

Mais tu as vu le documentaire ou lu le bouquin ?



lu le livre documentaire, mon Kern,
impressionné, je suis,
18-12-2013 à 10:08:45
bon si le génial film du génial coréen Bong Joon-Ho adapte aussi bien la géniale BD française de Lob et Rochette, qui ressort en intégrale en BD, pour tous ceux qui n'ont la chance, comme le génial bibliophile que je suis, d'en avoir une édition originale
bon à côté de tout ce génie, sort un livre documentaire sur les histoires du transperceneige


bon tout y'est
comment dans le paris des années 70 les auteurs de BD grivoises fréquentent les gonzes du café de la gare (cocluche, bouteille etc etc)
comment 2 d'entre eux, grands amis, décident cet histoire de ce train ultra-hiérarchisé seul survivant de l'apocalypse nucléaire
comment après la mort à 30 balais d'une rupture d'anévrisme, du dessinateur, l'auteur libre de chagrin veut tout arrêter puis rencontre un dessinateur de BD cochonne (mais géniale)
comment cette BD a un immense succès dans les années 80
comment à la suite de la mort tragique de l'auteur, le dessinateur reprend le flambeau pour les tomes suivants
comment après la fin de la guerre froide, cette BD tombe dans l'oubli
comment un réalisateur coréen multioscarisé avec une filmographie sans faute, tombe sur une version pirate chinoise aux puces de séoul
comment il rentre en contact avec le dessinateur devenu peintre abstrait à berlin et comment ils adaptent nsemble la BD
comment ce film en Asie est un carton (10 millions rien qu'en corée)






comment l'histoire autour du transperceneige est devenue aussi géniale que la BD elle-même
14-01-2014 à 11:39:21
Connaissais pas cet institut ! Article remarquable en tout cas sur Simon Leys...
Est-ce juste Stéphane ?
L'alligator ! signé S.Just ...

http://institutdeslibertes.org/connaissez-vous-simon-leys/

22 Mars 2015 Sagnol - « Pas grand-chose à dire »
04-03-2014 à 08:39:55
Une réedition de l'unique roman de Picabia, pour un petit détour dans le Paris des années 20 !!!
Je vais me laisser tenter...




"Unique roman de Francis Picabia, Caravansérail a été écrit en 1924, l'année où paraissait le premier Manifeste du surréalisme. À la rigueur dogmatique de Breton, Picabia oppose son incorrigible désinvolture, choisissant en toutes circonstances la liberté et la vie, qu'il traverse à cent cinquante à l'heure dans une Mercer d'importation. « Je suis vivant » : tel est le sésame et l'ultime réponse de ce roman où il exprime l'essentiel de ses idées.

Texte autobiographique à clés et à tiroirs, Caravansérail se présente comme une série de tableaux évoquant avec causticité l'esprit d'une époque prise dans le tourbillon des avant-gardes. On y retrouve Duchamp, Picasso, Breton, Eluard, Desnos, Vitrac, Aragon, Ernst, Cendrars, Cocteau, et d'autres encore, chacun suscitant des salves bien senties. Face au surréalisme en passe de triompher, le baroud d'honneur du dadaïsme "

Un des liens à ce sujet :
http://www.belfond.fr/site/caravanserail_&100&9782714456595.html

Les inrocks :
http://www.lesinrocks.com/2013/11/26/livres/tresor-cache-picabia-11446095/

22 Mars 2015 Sagnol - « Pas grand-chose à dire »
06-03-2014 à 18:02:13
le temps étant au pessimisme,rions un peu;
Manchester City serait prêt à débourser 200 millions d'euros pour faire signer Lionel Messi cet été.

Manchester City serait-il en train de préparer un gros coup ? D'après les informations publiées par El Confidencialce jeudi, les Citizens seraient prêts à payer la clause libératoire de Lionel Messi, soit 200 millions d'euros, pour l’accueillir lors du prochain mercato estival.
et en plus le offrir un salaire de 25 millions d'euros par an.

Ah merde encore un qu'on va se faire piquer..

tant va la cruche à l'eau,qu'a la fin ....il n'y a plus d'eau.
29-03-2014 à 10:04:29
pour les simenonesques,
très beau roman d'hervé le corre sur le bordeaux des années 50 et son trouble que nous connaissons,
comment on a recyclé en gros?
superbe de réalités et de fictionnalités
11-05-2014 à 15:48:31
2 très grands livres contemporains qui ont pur sujet la guerre et ses effrois


et



remarquables
02-08-2014 à 13:13:03
Pour tous les amoureux du roman noir à l'américaine, les thompsoniens, les faulkneriens, les mccartystes,
un excellent d'un gonze qui bossait à l'usine avant :



(en plus en poche pas cher pour du bonheur)
06-08-2014 à 00:43:12
je viens de regarder le match de rugby féminin,France/Afrique de sud.Victoire de la France 55/3,mais au delà du score ce fut un match de bonne tenue,beaucoup d'engagement,et un jeu de la France très intéressant.
¨Paradoxalement,je trouve qu'il ya moins d'écart entre le rugby féminin/masculin,qu'entre le foot feminin/masculin.Et les filles sont de vraies non professionnelles.

tant va la cruche à l'eau,qu'a la fin ....il n'y a plus d'eau.
12-08-2014 à 20:32:15
ah tiens un court séjour parmi nous du volatile des mers australes.

tant va la cruche à l'eau,qu'a la fin ....il n'y a plus d'eau.
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